J’ai attaqué ce matin les armoires de doc !
On ouvre les dossiers, les classeurs, on jette ce qui n’a pas d’utilité réelle pour la formation suivante.
On en profite pour reclasser les ressources, les supports de séance, les « bonnes copies » à garder en exemple.
Il m’est difficile de le faire dès le le demain du départ des stagiaires. Cette année, j’ai laissé passer une semaine.
Il y a sans doute un vague parfum de deuil dans cette cérémonie destructrice, bien que je n’ai jamais le sentiment de la fin d’une relation avec ceux avec qui j’ai travaillé une année.
🙂
Cette façon d’intégrer le départ d’un groupe comme une chose tout à fait simple, sans que je ressente une perte, un manque, une coupure, vient je crois de mes nombreuses années en hotel-club à l’étranger où j’ai participé à de nombreuses équipes pour des saisons de 8 mois, en tant que responsable souvent.
Mes co-équipiers de l’époque sont très souvent restés des amis, même si on ne se croise que de temps en temps…
C’est un presque pareil avec les RET.
Depuis 15 ans que je forme des RET, je garde avec pas mal d’entre eux des relations très chaleureuses et ouvertes, même si nous ne nous croisons que sur le net (sur le « yahoo group » Apret) et rarement lors de leur passage à Brive, pour un jury par exemple.
Reste à « fabriquer » : préparer les séances de formation une par une, celles des 1ères semaines d’abord (elles sont déjà sur le calendrier de façon précise)
Cet après-midi, ….dans la foulée : un mel à ceux qui arrivent dans une semaine, pour donner quelques infos pratiques, et tester les adresses mel que j’ai collectées.
Au turbin !
😉
GLP