Un autre chantier que la formation des RET m’a amené à installer deux autres Moodle.
Le paramétrage d’une des plateformes est bien avancé (elle sera mise en oeuvre dans 10 jours, je ne suis pas en avance !)
J’ai repéré à cette occasion des fonctionnalités de moodle que je n’avais pas utilisées jusqu’ici.
Entre autre, celle qui permet de voir qui est en ligne en même temps que soi sur le campus virtuel : c’est assez sympa, et on se sent effectivement un peu plus dans une communauté d’apprentissage vivante quand on repère ceux qui utilisent le campus pendant qu’on s’y trouve aussi. leur photo et leur nom apparait dans une petite fenêtre en page accueil.
J’ai repéré aussi que la fonction « rapport » est puissante : elle trace l’activité des inscrits et permet d’identifier les pages les plus lues, les temps d’accès, etc.
Sur le plan pédagogique, ça donne des infos utiles pour évaluer l’intérêt généré par telle ou telle page, telle ou telle ressource, et pour mettre en relation l’assiduité des participants et leurs résultats.
C’est ce qu’on appelle le « tracking« .
L’utilisation perverse du tracking, c’est « big brother ».
Comme partout, la technologie n’est pas perverse de nature, c’est ce qu’on en fait qui est peut l’être.
ça vous fout l’trac, le tracking ?
😉
GLP